vendredi 18 juillet 2014

Luxure à la Cour-Petits plaisirs entre femmes-Tendance dominatrice de Gilles Milo-Vaceri

 
Paris, janvier 1679
Missionnée par la Reine pour faire le jour sur un étrange empoisonnement, Constance met à profit son expérience sensuelle pour trouver la vérité et enfin récupérer ses titres perdus. Ses armes ? Son corps et sa connaissance des plaisirs de la chair. Ses cibles ? Les favorites du Roi. Et si, au passage, elle pouvait goûter au séduisant – mais non moins imperturbable – capitaine qui veille sur elle, ce serait parfait…
Andalousie, 1492.
Lorsque Maria rencontre sa nouvelle servante, elle est immédiatement troublée par sa beauté. Curieuse d’en savoir plus sur cette belle brune aux yeux émeraude, elle l’assigne à sa toilette. Mais dans la moiteur de la salle de bains, les mains habiles de Dayana effleurent des zones inconnues, éveillant en elle de délicieuses sensations… Et Maria se prend à songer à des plaisirs interdits… 


Encore un amant incapable de la satisfaire... Malgré ses nombreuses liaisons, Giulia ne parvient pas à connaître le vrai, l’impérieux plaisir. Mais qu’est-ce qui cloche chez elle ? Décidée à connaître elle aussi les frissons de la pure jouissance, Giulia se lance dans une quête, une quête pour trouver ce qui la fera vibrer…
 Je retrouve avec plaisir cette plume qui sait très bien me "parler".Il y a quelque chose qui m'intrigue à chaque fois c'est la connaissance qu'à cet auteur  du psychisme féminin et des "transports" de ce même sexe. Ces histoires sont si proche de la vérité que l'on imagine très bien une petite scène .
Notre auteur dans son vieux fauteuil préféré, assis dans une semi obscurité et allongé sur une bergère à ses côtés, une jeune dame alanguie et masquée qui lui raconte ... non lui susurre ses aventures... L'atmosphère est propice aux confidences et ce qui commence comme une conversation anodine se termine par de petites confidences à faire rougir mais oh combien délicieuses.
Je m'égare, je m'égare...
Vois tu où me conduisent tes histoires M. Milo-Vacéri!



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